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Polska répond à Yann Barthès et « Quotidien » après une chronique « misogyne »

Polska dénonce ce dimanche 26 mars le « sexisme » d’une chronique d’un journaliste de « Quotidien » se gaussant de son slogan et de la mise en avant de ses « atouts » pour manifester contre la réforme des retraites.
Polska dénonce ce dimanche 26 mars le « sexisme » d’une chronique d’un journaliste de « Quotidien » se gaussant de son slogan et de la mise en avant de ses « atouts » pour manifester contre la réforme des retraites.

Polska dénonce ce dimanche 26 mars le « sexisme » d’une chronique d’un journaliste de « Quotidien » se gaussant de son slogan et de la mise en avant de ses « atouts » pour manifester contre la réforme des retraites.

TÉLÉVISION – « Minable » et « misogyne ». La chronique de Nicolas Fresco pour « Quotidien » du 24 mars, n’a pas vraiment séduit les intéressées. Le journaliste y moque les deux influenceuses Polska et Tootatis, qui ont posté sur des Tiktok des vidéos où elles manifestent contre la réforme des retraites lors de la mobilisation du 23 mars.

 Elles sont notamment célèbres pour s’être fait recaler d’un resto à cause de leur décolleté plus profond que le trou de la sécu », raille le journaliste comme vous pouvez l’entendre dans l’extrait ci-dessous, alors que Yann Barthès retient un rire.

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 On dirait plus qu’elles étaient parties voir un match au Stade de France », commente encore le chroniqueur. Il insiste ensuite sur le côté risible de leur slogan : « Les formes contre la réforme ».

Un slogan pour « influencer les jeunes »

Les moqueries n’ont pas du tout plu à Polska qui a publié sur ses réseaux sociaux ce dimanche une vidéo adressée à Yann Barthès, le présentateur de l’émission. « Je m’adresse à toi Yann Barthès car je ne connais pas le nom de ton chroniqueur aux cheveux gras », tacle-t-elle dès le début de la vidéo ci-dessous.

« Yann Barthès, à ton grand âge, tu as 48 ans, tu trouves ça normal qu’on puisse faire en 2023 des chroniques, devant des milliers de téléspectateurs, hypersexistes, hypermisogynes ? », questionne-t-elle. « Au lieu de parler de l’acte en lui-même, vous vous êtes arrêtés à des faux ongles et à un décolleté », cingle-t-elle.

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La créatrice reproche également au chroniqueur de ne pas avoir su déceler l’importance de sa vidéo, destinée à encourager les jeunes à se mobiliser contre une réforme. « Là le but c’était juste de trouver un slogan pour influencer les jeunes », renchérit-elle.

Depuis ce samedi, les deux jeunes femmes ont reçu un cecertainombre de soutiens sur les réseaux, de la papart de députée France Insoumise, Nadège Abomangoli, de la sénatrice Mélanie Vogel, tout comme de la journaliste et militante afro-féministe Rokhaya Diallo.

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