DÉCRYPTAGE – Les anciens socialistes n’accepteraient pas tous l’arrivée de nouvelles figures de droite.
Observation d’un conseiller ministériel bien informé: avec
LR, c’est le «retour des grandes manœuvres». Il liste les indices qui s’accumulent: prise de parole de Nicolas Sarkozy fin octobre pour presser sa famille politique de s’allier avec la macronie, Emmanuel Macron qui prend aussitôt la balle au bond et propose de former une «alliance» avec la droite. Et, ça ne trompe pas, le «retour en cour» de Thierry Solère, l’ancien député des Hauts-de-Seine – spécialiste des conciliabules politiques – qui avait pris un peu de distance depuis cet été.
Dorénavant, «il participe, selon un ministre, à la réunion “coordination parlementaire et communication”», le lundi à l’Élysée, autour du secrétaire général de la présidence, Alexis Kohler, et Aurélien Rousseau, le directeur de cabinet de la première ministre. Sans oublier les rencontres entre Sarkozy et Darmanin.
Pas d’accord structurel
Le ministre de l’Intérieur, plus hyperactif que jamais, qui parle autant de sécurité que d’augmentation des salaires, «sait qu’il a sa carte…
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